Jaeger- LeCoultre : Chaque création est une aventure humaine.

Master Compressor Extreme LAB 2 Tribute to Geophysic
Mouvement: mouvement mécaniques à remontage automatique (calibre 780, 569 composants), masse à trois bras et segment en platine montée sur roulement à billes en céramique, sans lubrifiant, chronographe avec roue à colonne à embrayage vertical Boîte: TiVan15 (exclusivité Jaeger) avec ou sans or rose, lunette céramique sécurisée par ressort, 143 composants, fond saphir Taille: 46,8mm Fonction: heure, minute, petite seconde, date, chronographe avec compteur grande minute à deux digits, 2nd fuseau horaire (avec indication 24h), sélecteur et indicateur de fonctions de la couronne, indication radiale sur 180° des 60h de réserve de marche Cadran: squelette, ponts revêtus de PVD noir, affichage en relief des fonctions Bracelet: système d’interchangeabilité intégré, bracelet sécurisé à 2 points d’attache, avec réglage fin par crantage à 3 positions Contrôle: montre testée 1’000 heures Série limitée: 200 ex. en or rose et 300 ex. en titane

 

Master Grande Tradition Tourbillon à Quantième Perpétuel
Mouvement: mouvement mécaniques à remontage automatique (calibre 987 avec 48h de réserve de marche) manufacturé, assemblé et décoré à la main, > 400 composants, échappement en silicium en version or jaune Boîte: platine, or rose 18cts ou or jaune 18cts (série limitée de 300 pièces avec fond à loupe) Taille: 42mm Fonction: heures, minutes, petite seconde, tourbillon, calendrier perpétuel et phases de lune Cadran:  velouté avec partie en traitement Clou de Paris avec index dorés en applique Bracelet: cuir alligator avec boucle déployante en or gris, or rose ou or jaune 18 carats Étanchéité: 50m

Au long de son histoire, Jaeger-LeCoultre a apporté les preuves de sa maîtrise de la belle horlogerie au service de la performance technique dans les conditions extrêmes. Fidèle à cette philosophie, son CEO Jérôme Lambert a souhaité tester les qualités de l’étonnante Master Compressor Extreme LAB 2 Tribute to Geophysic en la soumettant aux sévères conditions qui prévalent en haute altitude, et accompagner son lancement d’un événement spectaculaire, hors du commun, et extrême. De son côté, le guide de montagne suisse Stéphane Schaffter, au palmarès aussi détonnant que sa philosophie des sommets, rêvait d’un projet inédit et historique: réunir les deux sherpas les plus célèbres du monde, le Népalais Apa Sherpa et le Pakistanais Little Karim, au cours de l’ascension d’un sommet vierge de l’Himalaya. L’Orient rencontre l’Occident sur le toit du monde. Les deux hommes partagent le goût des défis et décident de tenter l’aventure ensemble, Jaeger-LeCoultre finançant l’expédition des trois guides d’exception. Des mois de préparation et de reconnaissance plus tard, le sommet vierge idéal est identifié et abordé dans la mythique vallée du Nangpa La, séparée de l’Everest par deux autres vallées et inexplorée depuis des décennies. Stéphane Schaffter la compare à la fameuse Route Napoléon, reconnue très tardivement comme étant la voie idéale. Avant les années 1950, le caractère sacré des montagnes de l’Himalaya interdisait toute escalade. Ce sont les Anglais qui ont convaincu les Népalais de l’intérêt de donner du travail à la population, les sherpas, et de créer une source de revenus pour le gouvernement en octroyant des permis de grimpe. Or, en matière de cime, hauteur ne rime pas avec forcément avec difficulté. Très esthétique, le Jobo (sommet en tibétain) LeCoultre jouxte la frontière tibétaine, offrant successivement les plus grandes complications techniques de la discipline: pentes neigeuses à 45° buttant sur des murs de glace à 70° et des pentes rocheuses à 50°, successions de traversées ascensionnelles d’iceflûtes et de passages de glace à 80°, pour finir sur un enchaînement de corniches dont la dernière, totalement suspendue et culminant à 6589m, est atteinte le 22 octobre 2009. Les magazines spécialisés comme l’American Club Journal ou Vertical ont abondamment commenté l’exploit. Les nouvelles cartes de la région indiqueront ce nouveau sommet répertorié au Népal, le Mont Antoine LeCoultre. Déjà d’autres alpinistes d’élite s’intéressent à des sommets environnants, dans cette région révélée par Stéphane Schaffter et Jaeger-LeCoultre.
A travers ce test grandeur nature, l’Extreme Lab 2 a prouvé qu’il associait une ergonomie maximale à une précision et à une fiabilité hors pair. Plusieurs innovations font de cette montre un instrument dédié aux explorateurs de l’extrême : un sélecteur de fonctions intégré à la couronne au maniement aisé, un compteur digital breveté pour indiquer les minutes sautantes du chronographe, un stop-seconde manuel, une réserve de marche circulaire et une fonction GMT qui se consulte d’un simple coup d’oeil. Ce mouvement est abrité dans un robuste boîtier, confectionné dans l’alliage de titane TiVan15, d’une légèreté et d’une résistance à la traction supérieure, doté d’une lunette high-tech en céramique ultra-résistante aux rayures. Des poussoirs spécialement dessinés pour garantir un confort d’utilisation optimal offrent une large surface recouverte de cannelures en caoutchouc, et font office de protège-couronne. Côté bracelet, un système de changement rapide est intégré dans le fond du boîtier, et une nouvelle boucle à double ardillon bénéficie d’un réglage de longueur inédit assurant un parfait ajustement du bracelet au poignet.

 

Une conception différente de la mesure du temps
Fidèle à elle-même, la manufacture du Sentier s’inscrit en exemple et semble avoir pris une longueur d’avance sur de nombreux concurrents en présentant une nouvelle montre compliquée dont la véritable innovation consiste à apporter une solution inédite à un problème jusqu’ici irrésolu: la détérioration du réglage par la consommation énergétique des complications. De ce constat est né le concept Dual Wing dont est issu le Duomètre à Quantième Lunaire, que la rédaction de GMT est fière de présenter en couverture, et qui vient de remporter en Suisse le Prix du Public de la Montre de l’Année 2010. Jusqu’à ce jour, chaque complication, chaque indication figurant sur le cadran s’intercalait entre l’organe moteur et l’organe régulateur comme autant de roues à entrainer, de forces de ressorts à vaincre. Ces consommations d’énergie perturbent généralement les oscillations du balancier et, en conséquence, le réglage de la montre. Pour pallier à cet inconvénient, Jaeger-LeCoultre a développé un mouvement doté de deux ressorts moteurs indépendants. L’un dédié uniquement à alimenter l’organe régulateur, le second à assumer la consommation d’énergie requise par l’ensemble des indications, en l’occurrence, heures, minutes, secondes, quantième et phase de lune. La syncronisation entre ces deux mécanismes distincts (d’où le terme Dual Wing) est assurée par la seconde foudroyante (visible à 6H). Cet
ingénieux dispositif puise une énergie totalement insignifiante au vu des indications fournies et surtout constante. Il en résulte une influence «zéro» sur l’organe régulateur. Après un tel énoncé, l’observateur aurait pu s’attendre à  un cadran bardé d’aiguilles se chevauchant, offrant ainsi une lisibilité contestable. Il n’en est rien, l’architecture jumelle du mouvement a permis de répartir très distinctement toutes les indications sur la surface du cadran. Heures et minutes trouvent leur place à droite du cadran. Disposé symétriquement sur la partie gauche, un quantième à aiguille s’affiche concentriquement à un indicateur de phase de lune agrémenté d’une double aiguille indiquant l’âge de la lune en nombre de jours d’une part ainsi que l’état de sa phase pour l’hémisphère sud d’autre part. Une aiguille de seconde «traditionnelle» occupe seule la position centrale alors que la partie inférieure du cadran est agrémentée par la spectaculaire seconde foudroyante effectuant une rotation complète en 1 seconde, le tout divisé en six impulsions (sauts) successives.
Deux ouvertures de part et d’autre de la seconde foudroyante complètent un équilibre et une esthétique parfaits, tout en dévoilant les indicateurs de réserve de marche spécifiques aux deux sources d’énergie. Le tableau ne serait pas complet sans évoquer le dispositif de remise à zéro des deux aiguilles de secondes lors de la mise à l’heure sans que ne soient stoppées les oscillations du balancier (!) ni la qualité ébouriffante des finitions et de la décoration du mouvement, par ailleurs admirable au travers d’un fond doté d’une glace saphir.

 

La voix de la mémoire a 60 ans
Afin de célébrer les 60 ans de la Memovox, Jaeger-LeCoultre s’est d’une part associé à un grand collectionneur pour présenter 40 montres Memovox anciennes chez Artcurial fin novembre à Paris, et présente d’autre part une série limitée de 3 montres Master Memovox International chez Colette dans le cadre du cabinet de curiosités de Thomas Erber. La Memovox, soit «la voix de la mémoire», un des modèles icônes de Jaeger-LeCoultre est née en 1950. Elle fut équipée du premier mouvement automatique doté d’une fonction réveil de l’histoire de l’horlogerie: le Calibre Jaeger-LeCoultre 815. Cas rarissime, ce mouvement de légende est toujours en fabrication soixante ans après sa création, inlassablement amélioré par les ingénieurs et les horlogers de la Manufacture pour répondre aux dernières exigences techniques. Au niveau esthétique, la Memovox s’est déclinée au fil des années dans de nombreuses versions en s’adaptant aux tendances de son époque, se faisant classique ou sportive. C’est ainsi une montre avidement recherchée par les collectionneurs. Son fort design, ses lignes énergiques, et son esprit mêlant performance et dynamisme imprègnent aujourd’hui encore les lignes sportives Jaeger-LeCoultre, de la Master Compressor Memovox à l’AMVOX, en passant par la toute nouvelle ligne de montre de plongée Master Compressor Diving ou les rééditions des Memovox Tribute To Polaris. La Master Memovox International contient ainsi le Calibre Jaeger-LeCoultre 956, cinquième génération depuis le Calibre Jaeger-LeCoultre 815 (1956), premier mouvement de l’histoire, cumulant alarme et remontage automatique. Ce concept technique était si abouti qu’il est demeuré inchangé. En revanche, à chaque génération, le calibre a été doté des derniers perfectionnements en matière de précision et de fiabilité: masse oscillante à rotor montée sur billes en céramique, échappement à haute fréquence, balancier à inertie variable, etc. Montre mythique des Trente Glorieuses, la Memovox demeure aujourd’hui encore l’expression ultime des fonctions utiles.
Dans le cadre du cabinet de curiosités de Thomas Erber, Jaeger-LeCoultre présentera une série limitée de 3 montres Master Memovox International chez Colette. 25 artistes (marques, créateurs, designers…) ont créé une pièce (montre, vêtement, photo, …) exclusivement pour cet événement se dérouland du 29 novembre au 31 décembre 2010. Tous ont été choisis par Thomas Erber pour leur travail d’une extrême qualité et une certaine idée du luxe liée au savoir-faire. Chaque pièce sera une «curiosité» et sera destinée à un public de connaisseurs avisés. Jaeger-LeCoultre a réalisé pour cette occasion une édition spéciale de la Master Memovox International avec une boîte en acier recouvert de PVD noir et sur le disque des villes “Paris” remplacée par le célèbre concept store Colette. Parallèlement à ces deux événements, Jaeger-LeCoultre a également organisé fin novembre à Paris pour quelque 200 clients privilégiés amateurs de grande horlogerie les Master Class, leur permettant de mieux appréhender le savoir-faire nécessaire à la création de montres de qualité. Installés derrière un établi et assistés d’un horloger, les invités ont pu se livrer au montage et démontage des calibres 875 et 751 et découvrir à quel point cet univers est particulier.

 

 

 

Duomètre à Quantième Lunaire
Mouvement: mouvement mécanique à remontage manuel (calibre 381 avec 50h de réserve de marche), fabriqué, assemblé et décoré à la main, 369 composants dont 2 barillets indépendants Boîtier: or rose 18cts ou or jaune 18cts (série limitée de 300 pièces) Taille: 42mm Fonction: heures, minutes, secondes, seconde foudroyante, date, âge et phase de lune (pour les 2 hémisphères), double réserve de marche, poussoir pour quantième Cadran: coquille d’œuf (version or jaune) ou grené main argenté (version or rose) Bracelet: alligator noir mat ou chocolat mat avec boucle déployante en or 18 carats Étanchéité: 50m

 

 

Memovox Tribute To Polaris réédition 1965 (gauche)
Mouvement: mécanique à remontage automatique (Calibre 956, 45h de réserve de marche) manufacturé, assemblé et décoré à la main (268 composants) Boîtier: en acier Taille: 42mm Fonction: heure, minute, petite seconde, date, réveil, réhaut tournant interne (h du réveil, réglé avec couronne à 3h) Cadran: index ‘traits’ nickelés polis, repère triangulaire central indiquant le réveil Bracelet: cuir noir, équipé d’une boucle ardillon en platine 950 Étanchéité: 200m Série limitée:  165 pièces

 

Memovox Internationale Série Spéciale Colette (centre)
Mouvement: mécanique à remontage automatique (calibre JLC 956) Boîtier:en acier recouvert de PVD noir Taille40mm Fonction:heure, minute, seconde, date, réveil Cadran:noir et sur le disque des villes «Paris» est remplacé par le célèbre concept store «Colette» en bleu Bracelet:alligator noir et surpiqures bleues Série limitée:3 pièces

 

Memovox Tribute To Polaris réédition 1968 (droite)
Mouvement: mécanique à remontage automatique (Calibre 956, 45h de réserve de marche) manufacturé, assemblé et décoré à la main (268 composants) Boîtier: en platine 950 Taille 42mm Fonction: heure, minute, petite seconde, date, réveil, réhaut tournant interne (h du réveil, réglé avec couronne à 3h) Cadran: index ‘trapèzes’ luminescents, repère triangulaire central indiquant le réveil Bracelet: cuir noir, équipé d’une boucle ardillon Étanchéité: 200m Série limitée:  768 pièces


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